Rapport n°61
Bonjour tout le monde!
Pas simple d'assembler une real life pleine et aboutie à une histoire de sims. Mais plusieurs fois depuis décembre, j'ai reçu des messages de soutien et quelquefois même la question "A quand la prochaine maj?" Je ne peux pas vous dire si je parviendrais à poster régulièrement ou si une nouvelle fois, il y aura des trous aussi long et nul que celui-ci. Mais pour l'instant, je vous livre cette maj! Deux autres vous attendent au chaud pour les deux prochaines semaines à venir. Je préfère ne rien vous promettre mais je vais essayer de faire de mon mieux...
Merci d'être là, malgré tout. Bonne lecture,
Stern
Alors que le soleil n'est pas levé en ce joli samedi matin, notre cher Balu s'est déjà lancée dans une course acharnée contre la monstre.
Et Caïn trop préoccupé pour parvenir à dormir, s'est mis à ses devoirs.
Fiou ! T'es presque trop maigre là, Balu.
« Comme tu le dis toi-même, j'aurais tôt fait de les reprendre ! »
A l'étage, Ciel attendait patiemment le réveil de Cendrillon pour enfin partir avec elle faire du shopping. Dès qu'elle l'entendit s'affairait dans sa chambre, elle se jeta sur elle :
« Alors, on va faire du shopping, ma couz ? T'es pas fatiguée aujourd'hui, hein ? C'est samedi, on va s'éclater comme des folles ! »
Aussitôt dit, aussitôt fait, les deux cousines disparaissent ensemble dans un taxi en direction du soit-disant paradis des femmes.
* * *
Le soir, Bilbo reçoit un appel de son neveu :
« Allô Tonton ? Oui, je voulais prévenir que je sortais ce soir.
_ Là, maintenant ? Mais tu as prévenu ta mère ? »
« Hahaha, et bien tu peux prévenir maman s'il te plaît ? Elle n'aura rien contre, vu qu'elle s'en fout. Je te laisse, bye ! »
Le pauvre Bilbo n'a même pas eu le temps de répondre que Cupidon avait déjà raccroché.
« Bonjour la miss...
_ Cupidon. Je ne pensais pas que tu viendrais.
_ Tu vois, je suis là. »
« Et j'ai fait ce que tu m'as demandé, je suis allée fouiller les catacombes !
_ C'est vrai ? Tu as une preuve ?
_ Je n'ai rien trouvé à emmener mais je te promet que j'y étais ! »
« Je suis désolée Cupidon mais notre marché ne peut pas fonctionner dans ces conditions.
_ Pou-Pourquoi ?
_ Et bien, comment je sais que tu y as bien été, moi, dans ces catacombes ?
_ Si je te le dis... !
_ Ca me suffit pas... Mais je peux te proposer quelque chose d'autre.
_ Quoi donc ?
_ Un petit service à me rendre...
_ Et après tu... ?
_ Bien sûr, si je te le dis ! »
Une nouvelle fois, Cupidon rentre à la maison sans adresser un mot à qui que ce soit. Il prit rapidement une douche et partit aussitôt se coucher, le cœur lourd.
* * *
Le lendemain matin, Balu était en train de jouer de la guitare en attendant ses enfants pour un petit déjeuner du dimanche en famille quand...
Cendrillon ! (choquée)
« Cendrillon, qu'est-ce qu'il t'est arrivée ???
_ Tu vois, on est allé faire du shopping. » fit Cendrillon avec une moue exagérée.
Sans lever la voix, Balu prit aussitôt les choses en main :
« Tu retournes immédiatement dans ta chambre te débarbouiller et te changer. »
« Mais Maman, c'est Ciel qui m'a dit que... »
« Je sais ma puce, ne t'inquiète pas. Je connais la responsable. Mais tu n'es vraiment pas jolie comme ça, je te le promets, remet quelque chose de correct et ensuite on mangera de bonnes gaufres tous ensemble, d'accord ?
_ D'accord, Maman chérie... »
Montant aussitôt à l'étage...
Balu réveilla Ciel pour avoir une explication.
« Non mais ça va pas ? Comment as-tu osé ridiculiser Cendrillon comme ça ! Elle aurait pu aller à l'école comme ça !
_ Oh mais calme-toi ! Elle ne te plaît pas en pétasse, ta fille ?
_ Je t'interdis de t'approcher d'elle. Tu vas quitter ma maison immédiatement, Ciel, j'en ai assez enduré de toi. »
« Ohoh, Madame donne des ordres. Mais tu n'as aucun ordre à me donner, on va voir si Papa est de cet avis.
_ Il le sera, je te le promet, je vais y veiller personnellement. »
Sans perdre une minute, Balu appela une vieille connaissance dans l'immobilier pour prendre rendez-vous dans la semaine pour trouver un appartement à Ciel.
« Tu ne te débarrasseras pas de moi comme ça !
_ Ca, c'est ce qu'on verra. »
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